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Archive for the ‘Généralités’ Category

Lauwrence Alma-Tadema.

Chers Amis,

Je viens de découvrir ce site conçu par Marc Nadaux : index.htm
Il est principalement tourné vers l’histoire de France, mais l’histoire dans toute son acception ! C’est-à dire autant par les Arts, la Littérature, la Politique et les individus marquants de ce siècle (une biographie succincte mais utile vous est proposée en fonction de vos centres d’intérêts…)

C’est vous dire le plaisir que j’ai eu à le parcourir et à y retourner souvent !

Un voyage où nous nous retrouverons tous (sans passéisme exagéré), uniquement pour le plaisir des mots -au moins …-

Une nouvelle fois : REGALEZ-VOUS !

Lou

Lawrence Alma-Tadema.

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La Maison Bürgel, litographie fin du 19ème siècle.

Chers Amis,

S’il y a bien un historien qui mérite toute notre attention, c’est bien Christophe Charle et ses nombreuses études sur la société au XIXème siècle. Je vous propose un aperçu à travers le contexte des ambitions wildiennes. En plus clair, en situant les motivations de Wilde dans son époque, j’ai pu apercevoir toute la richesse des œuvres de Charle parce qu’il permet de saisir aisément ce qui fonde certaines décisions artistiques et littéraires.

Voici au moins deux ouvrages fondamentaux à toujours conserver dans votre bibliothèque ! :

Histoire sociale de la france au 19eme siècle

Et :

Les intellectuels en Europe au 19ème siècle –

Il me semble que pour commencer à mieux saisir ce contexte dans lequel naisse les oeuvres critiques, il faut se souvenir de quelques faits importants pour les intellectuels de l’époque, et d’ici sur Oscar Wilde :
Trois points peuvent être suggérés :
Le premier nous arrête sur l’Angleterre qui, dès 1819, impose des taxes sur la presse pour limiter considérablement la contagion des idées subversives et l’influence du modèle révolutionnaire français sur les classes populaires anglaises. Un des principaux responsable de cette contre-offensive intellectuelle est le philosophe Burke, qui rédige ses Réflexions sur la révolution de France en 1790.
Il insiste sur la méfiance qui s’impose quant à l’enthousiasme en faveur de la révolution française (un nombre croissant d’intellectuels sont visés ; Hegel, Fichte, Hölderlin, Schelling, Rousseau ou Kant) .

Ce qui leur est reproché, c’est l’esprit « destructeur » qui vise à saper le socle religieux et incite à fonder des groupuscules partisans qui serviraient leur esprit « révolutionnaire ». Les conséquences de ces manifestations traverseront tout le 19ème siècle, et en Angleterre, dès 1843, l’abolition du Liscensing Act a –par exemple- deux conséquences sur les représentations théâtrales : 1) seuls deux théâtres sont autorisés à mettre en scène des pièces dramatiques, 2) elle contraint ainsi la plupart des auteurs à n’écrire que des divertissements. Nous évoquons ces auteurs parce qu’ils ont influencé le jeune Wilde, et parce que le dramaturge qu’il deviendra, tiendra compte –dans une certaine mesure – des difficultés à contourner dans une Angleterre qui cumule idéologiquement tout ce contre quoi il va se détourner ou devra affronter.

Les dégustateurs, le musée des rieurs, lithographie couleur, XIXème.

Le second, met en lumière la personnalité du jeune Shelley qui confirmera une direction de pensée chère à Wilde. Il s’agit de l’inspiration et de sa force de conviction sur toute une génération d’hommes de lettres. (Oscar Wilde le citera dans nombre de ses œuvres, et cela est significatif). En effet, contre Coleridge qui, après Burke, cherche à instaurer une nouvelle fonction plus conservatrice des intellectuels, le jeune Shelley qui appartient à la société privilégiée, se rebelle très tôt contre la violence éducative (châtiments corporels dont il a lui-même eu à souffrir au collège d’Eton) et sur les mœurs rétrogrades dont le religieux ne se défait pas. Ces convictions le font quitter Oxford, et organiser un programme politique et religieux, républicain et tolérant. Le christianisme, tel qu’il est établi, est, selon lui, une hypocrisie absolue. Il ne faut donc compter que sur la solidarité des grands hommes dont la préoccupation est le progrès de l’humanité.

Comprendre les influences de Wilde, c’est tenir compte de certains faits plus secondaires en apparence : en 1812, Shelley se rend à Dublin où il rédige pour une partie du peuple irlandais son Address to the Irish people ; un écrit qui reconnaît la légitimité des réclamations des catholiques irlandais. Wilde se sent solidaire d’une partie de ces revendications,
mais les convictions les plus fermes de Shelley demeurent liées à la Révolution française. Certes, les effets de la Terreur sont à éviter, mais pour cela, il faut éduquer le peuple. Les abus peuvent ainsi être évités et des réformes sont possibles avec le travail et la coopération des penseurs, qui en seraient des législateurs.

Shelley meurt jeune, en 1822 mais après lui, de nombreux intellectuels mettront leur plume au service de cette cause démocratique. Dont Wilde.

Estampe de Félix Benoist, lithographie de Charpentier, XIXème.

Christophe Charle est précis dans ses recherches : entre les intellectuels plus engagés qu’il classe dans les « messies » -tels que les humanitaristes, les saint-simonismes ou les fouriéristes- et les intellectuels dont l’hommage à l’artiste et au poète est central, il y a une délicate conciliation. Chacune de ces deux formations intellectuelles a le désir commun de rester individualiste, sans pour autant fermer les yeux sur la pauvreté de leurs congénères. Oscar Wilde sera sensible aux deux, mais ses principaux objectifs relèveront nettement de la seconde catégorie d’intellectuels, ceux qui ont le pouvoir, ou la possibilité d’éduquer le peuple au Beau et à l’Art pour le réconcilier avec le monde et leur propre individualité.

Une autre force intellectuelle est pourtant à prendre en considération. Ce sont les jeunes hégéliens, -comme Feuerbach, Bruno Bauer ou Karl Marx- qui ont suivi les cours de Hegel et ses disciples. Mais ils sont ce que Charle nomme la « gauche hégélienne » influencés par les utopistes français, les anarchistes et les communistes (ce qui, en Allemagne leur confère une situation politique peu confortable). Ils souhaitent refondre le système politique dans son intégralité, et veulent s’adresser à l’humanité entière. Le plus actif et le plus productif d’entre eux, Karl Marx, critique l’empirisme des libéraux anglais et des socialistes français, tout en fustigeant la modération des idéologues comme Stirner et Proudhon.

Proudhon.

Si Oscar Wilde ne cite pas précisément ces derniers intellectuels, nous savons que dans son essai Les origines de la critique historique, dans l’âme de l’homme sous le socialisme, ou dans sa pièce de théâtre Véra ou les Nihilistes, l’influence de Hegel, des jeunes hégéliens et des révolutionnaires français et russes marqueront définitivement le jeune Irlandais. L’effervescence spirituelle est à son comble mais régulièrement, Wilde considèrera que seule la France sera capable de proposer un cadre littéraire à la hauteur de ses aspirations.
Lorsque sa pièce Salomé est censurée en 1892 au motif qu’un personnage biblique ne peut être représenté sur scène, il souhaite la naturalisation française et précise :

« Puisqu’il est impossible de faire représenter une œuvre d’Art en Angleterre, je vais me transférer dans une autre patrie dont je suis depuis longtemps amoureux. Il n’y en a pas d’autre voyez-vous, et Paris, c’est la France. C’est le refuge des artistes ; mieux, c’est la ville artiste. (…) Ici, les gens sont essentiellement anti-artistes et étroits d’esprit »

Si Wilde demeure un étranger comme nous l’avons envisagé, Christophe Charle a raison de souligner que le courant de L’Art pour l’Art sera peu à peu contesté par la critique littéraire, lassée par ses invectives qu’elle jugera inutile et immorale. Mais en 1854 lorsque naît Oscar Wilde, cette esthétique a encore de beaux jours devant elle…

Lou Ferreira

Histoire culturelle de la France au XIXème siècle.

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Brummel. Image extraite du site / blog : acoeuretacris.centerblog.net

Chers Amis, ce ne sont pas les définitions sur le dandysme et sur les dandies qui nous font défaut, mais des surdéterminations qu’il vous faudra déconstruire pour en extraire la définition qui vous sied le mieux. Je veux dire celle qui, à vos yeux aujourd’hui, correspond à votre désir d’être unique ou d’apprécier l’unicité masquée en vous.

Pour reprendre une formule qui me plait chez Monsieur Jean D’Ormesson, et que je réutilise avec mes propres termes : ce n’est pas l’habit du dandy qui fait l’être du dandy, mais c’est l’être du dandy qui fait de lui un Autre, l’Unique.

C. Baudelaire.

On peut être pauvre, non aristocrate, ce n’est pas ce qui glorifie assurément le dandy d’emblée, c’est une posture d’abord : une révolte indicible, intérieure qui nous donne envie de fuir à jamais la banalité d’une pensée, d’une action, et d’une toilette. Et si j’aime Oscar Wilde, c’est parce que j’ai toujours eu la sensation que son goût immodéré pour le beau ne s’accompagnait pas de mépris pour les basses classes qui ne pouvaient pas accéder à son style de vie et de pensée.
Relisez  » L’âme de l’homme sous le socialisme  » au même moment où il publie « Le portrait de Dorian Gray », sa générosité d’âme n’est en rien incompatible avec sa vision du dandysme…
Il est au-dessus d’une suffisance que je côtoie régulièrement chez nombre d’individus, et qui se donnent une apparence de profondeur esthétique.
Vous me direz, c’est déjà ça.

Lou.F

Je vous propose deux définitions : celle-ci sur  » Qu’est-ce que le dandy ? » :

etudes_metapo_plv_dandy.html

Et celle-ci sur Le dandysme dans « le traité de la vie élégante » :

0402.pdf

Pour ceux et celles qui ne connaitraient pas encore le site des « nouveaux dandys », je vous propose leur lien fort utile quant aux ouvrages -en particulier- et à la beauté de sa conception en général :

dans-son-excellente-%C3%A9tude-intitul%C3%A9e-la-vie-%C3%A9l%C3%A9gante-ou-la-formation-du-tout-paris-1815-1848-anne-martin-fugier-consacre.html

Belle soirée à vous tous et à demain !

LOU FERREIRA

Photo extraite du site / blog : mors-rosae.over-blog.com

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Coco Chanel.

(Un petit signe à Mademoiselle Chanel avant de lui consacrer dans les prochaines semaines un article).

Ce soir, je tiens à faire une sorte de rappel – tout en rendant hommage – aux sites et aux blogs dont je respecte absolument le travail.
Je vais rappeler l’évolution de certains d’entre eux. Je pense réellement que leurs articles, leurs idées, leur art nous épanouissent tous et que nous sommes loin d’en avoir fait le tour…! Ce site nôtre est celui qui part à la recherche des travaux de tous les amoureux fin-de-siècle (entre autre) et qui propose , je le rappelle, des activités et des réflexions esthétiques et philosophiques wildiennes sur tout ce qui se propose à nos sens.

Mais à tous nos amis également :

Tout d’abord, je salue Mademoiselle Ariane Charton qui non seulement anime avec Karen Malka des soirées littéraires à L’entrepôt à Paris, mais surtout, elle tient avec intelligence et finesse ses articles dont le dernier en date est :

blondin-lalcool-et-la-rentree-litteraire  » LES ÂMES SENSIBLES  »

Berthe Morisot.

Ensuite Mademoiselle Aurore Mosnier qui travaille avec bonheur sur toutes les expositions à ne pas manquer, et sur tous ces monuments parisiens (et européens !) que nous n’avons pas nécessairement eu l’occasion de voir ou de comprendre : voici le dernier en date ! : Le Diable bâtisseur : l’exemple du pont Valentré

(D’ailleurs, toutes les images des peintures de Berthe Morisot me permettent de rappeler que son article sur « La Morisot » est très instructif évidemment).

Berthe Morisot.

Ensuite, je vous rappelle le travail précieux de la Société Oscar Wilde Française et qui poursuit, entourée d’universitaires motivés, une route parsemée de lys en l’honneur de ce cher Oscar ! J’avais consacré cet article avec leurs références incluses : de-the-oscolars-a-la-rue-des-beaux-arts-hommage-a-oscar-wilde

Berthe Morisot.

Je suppose que vous n’avez pas non plus oublié la délicatesse du beau site épuré de Monsieur Pierre de Bonneuil, ses recherches et ses pensées voyagent toujours, il m’en tient informé : C’est ici : www.pierredebonneuil.fr

Et un article intéressant dont il vient de m’informer l’existence (une belle contribution…) :
a-journal-of-elegance-monsieur-magazine

POUR VOUS MESSIEURS ! (avant tout ?)

Et puis les dessins et autres travaux du sympathique aristocrate (ce n’est absolument pas un pléonasme) Massimiliano Mocchia Di Coggiola : Régalez-vous toujours ! : disegni

Emile Vernon.

Mon ami, le sulfureux et intransigeant Patrick Cardon qui continue d’enrichir nos bibliothèques et nos esprits avec les questions sur / et pour la littérature homosexuelle : gaykitschcamp.blogspot.fr

Berthe Morisot.

Je rappellerai l’actualité d’autres artistes et écrivains très bientôt également !

SANS OUBLIER LES PROCHAINES INFORMATIONS SUR  » LA NUIT DES ESTHÈTES  » en 2013 !!

Laloue. Paris.

A bientôt !

LOU FERREIRA

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Bozena Nemcova ,Femme de lettres tchèque (Vienne 1820 – Prague 1862).

C’est en regardant un film sur les conditions d’existence de cette femme écrivain (ou écrivaine, je me moque de cette grammaire), que j’ai décidé de poursuivre mon chemin pour que l’on découvre (à commencer par moi !), cette femme merveilleuse qui a pu laisser des œuvres encore inconnues de la plupart d’entre nous. Son écriture s’est réalisée dans la maladie (un cancer semble t-il), une misère totale, (avec un mari alcoolique qui la méprisait). Elle a pu élever ses trois enfants (dont un fils qui mourra jeune).

Ce n’est pas du Zola, cela se passe dans les Années 1850 et voici le petit résumé que j’ai pu trouver sur divers sites* à propos de cette grande Dame :

 » Božena Němcová est née le 4 février 1820 à Vienne et décédée le 21 janvier 1862 à Prague. Elle est l’un des écrivains les plus influents de la Renaissance nationale tchèque. Elle est connue pour ses recueils de contes (Histoires et légendes de la nation) et(Contes et légendes slovaques), mais son œuvre la plus célèbre est le roman Grand-mère (Babička, 1855), connu de tous les Tchèques. (Les billets de 500 couronnes tchèques sont à son effigie).

Issue d’une famille pauvre, fille d’un cocher et d’une servante, tous deux au service de la duchesse de Sagan, elle eut toute sa vie des ennuis d’argent. Née Barbora Pankel à Vienne, elle passa son enfance au village de Ratibořice, auprès de sa grand-mère Magdalena Novotná, qui lui inspira plus tard son célèbre roman Grand-mère.

À l’âge de dix-sept ans, elle épousa Josef Neměc (1805-1879), un fonctionnaire d’état de quinze ans plus âgé qu’elle. Ils eurent quatre enfants. Avec ses amis les écrivains Václav Bolemír Nebeský et Karel Jaromír Erben, Božena Němcová fut une activiste inlassable du nationalisme tchèque, qui avait pour but la sécession du peuple tchèque du sein de l’Empire austro-hongrois, ce pour quoi elle subit les représailles politiques au lendemain du Printemps des peuples de 1848. Son mari, lui aussi patriote tchèque, perdit son poste, le couple perdant tout moyen de subsistance. Lui, se mit à boire.

Bozena Nemcova

Malgré ces difficultés, Božena Němcová parvint à achever Babička en 1854, le roman qui lui apporta la renommée littéraire. Elle y raconte l’enfance à la campagne d’une petite fille nommée Barunka (un diminutif de Barbora) en compagnie de sa grand-mère. Le livre s’inspire de la propre enfance de Němcová dans le village de Ratibořice, où elle vécut avec ses parents et sa grand-mère maternelle Magdalena Novotná. Le personnage de la grand-mère y montre un caractère foncièrement bon et optimiste. L’écriture repose sur un langage populaire mais non dénué de variété et de vivacité. Ce roman est l’un des plus lu de la littérature tchèque.

Božena Němcová mourut à Prague d’un cancer, alors qu’elle n’avait même pas quarante-deux ans. Ses restes reposent au cimetière de Vyšehrad.  »

Bozena Nemcova

Merci à ceux qui résisteront à la mélancolie en lisant « Grand-mère » de Dame Nemcova….

Sites qui l’évoquent : grand-mere-le-livre-de-bozena-nemcova-a-150-ans

ou bien : 93_bozena-nemcova

Et (en Anglais ): svu_2001.htm

(nécessairement : Bo%C5%BEena_N%C4%9Bmcov%C3%A1 dont je me suis grandement inspirée pour le résumé.). Merci.

LOU FERREIRA

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La bibliothèque nationale de France.

A vous tous,

Certes, c’est presque une belle « contradiction » que de vous montrer une splendide bibliothèque, vous affirmer que je n’aime feuilleter que les vieux manuscrits et que je rêve encore souvent de la plume d’oie (ce qui est un peu idiot); et puis, dans le même temps vous proposer un site sur le net que je trouve utile !

Il est également mis à jour, et les travaux que j’ai pu lire de ci de là, méritent toute votre curiosité….

photo extraite du site / blog : lireetrelire.unblog.fr

Les auteurs, les critiques, les époques, les styles … Presque tout ce que vous pourriez aimer regrouper sur quelques pages cet été, se trouve sur ce site bilingue : litcrit.out.pl%3Fpd%3DBritish:%2B19th%2BCentury

Merci pour tous ceux qui partagent nos passions ou simplement nos curiosités littéraires et artistiques à plus large échelle et plus loin toujours….Dans le temps.

Lou FERREIRA

photo extraite du site : livres-anciens.com.fr

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Emile Vernon, printemps à la campagne.

Chers Amis,

Une petite heure de détente et voilà j’ai eu envie de vous présenter ce peintre du XIXème siècle : Emile Vernon (1872/1919).
Lorsque j’ai cherché des documents pour vous en parler un peu, il n’y avait pas grand chose, si ce n’est un maigre article dans wikipédia. Donc avec très peu d’intérêt.
Dans cette courte présentation, l’auteur de l’article pose ces quelques lignes qui m’ont donné envie de rire ! :

« Plus académique que vraiment original, il ne connut aucun problème avec ses peintures au charme délicat et reste, aujourd’hui encore, assez méconnu. »

Traduction : Il n’y a rien de provocateur, rien de créatif, rien de transcendant. Son travail charmait peut-être la petite bourgeoisie (et encore…), mais on le laissait tranquille. Il vécut heureux et eut beaucoup de jeune filles en fleurs autour de ses gouaches, beaucoup d’argent et les quatre saisons.

Aller, je vous laisse apprécier ces quelques modèles qui, malgré l’absence totale d’imagination de ce cher Emile, me laisse pourtant ce sourire aux lèvres pour la soirée, et c’est déjà ça….

A sweet glance. Emile Vernon.

The Fancy bonnet. Emile Vernon. (je veux le chapeau)

« Dans la peau d’une muse » Emile Vernon. (torride)

Au café. Emile Vernon.

Voilà, vous trouverez ces modèles délicieux sur tous les jolis services à thé.
Et pourtant j’aime ….

A bientôt avec Zweig !!

LOU FERREIRA

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James Tissot. 1875

Cher Amis : Tout va dépendre du nombre de pré-inscriptions dans les proches mois qui viennent !

En clair, notre association a longuement réfléchi à un projet qui serait annuel s’il venait à trouver son public et un succès réel. Nous avons l’intention d’organiser le SAMEDI 29 JUIN 2013 dans un lieu prestigieux à Paris, « La nuit des Esthètes »

Cette rencontre de qualité doit se préparer longuement à l’avance afin que les amoureux des Arts et des Lettres se retrouvent pour écouter des musiciens, des comédiens, des universitaires d’auteurs fin-de-siècle et faire des projets où le Beau demeurera l’obsession de tous.
Tous ceux qui auront envie de se vêtir (époque victorienne, belle époque, ou un style « entre-deux guerres ») en auront l’absolue liberté et cela nous semble même enthousiasmant comme désir….

Madeleine Lemaire. Après le bal.

Les pré-inscriptions sont ouvertes : plus de 150 invités sont attendus ! Le coût est de 35 euros par personne -mets et boissons comprises-, et vous pouvez compter en la totale transparence des comptes de notre association. (Tous les documents nécessaires vous seront fournis).

Dans un premier temps, nous vous demandons d’écrire à :

liliane-lou@wanadoo.fr
pour annoncer votre venue, et à partir de Septembre 2012 -jusqu’au mois de Décembre 2012, en fonction du nombre définitif de réservations, nous déciderons de maintenir ou non cette manifestation esthétique internationale.

Alors qu’en pensez-vous ?

A bientôt ! (les contacts sont si encourageants en une seule journée que l’enthousiasme est de mise !)

Le Cercle Esthétique et Philosophique Wildien
Présidente Lou Ferreira

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Je suis éreintée par cette année dite « scolaire » (qui était magnifique certes), mais je suis heureuse de voir le mois de Juillet s’annoncer enfin !
Et comme demain, le dernier Salon Littéraire sera riche en personnalités littéraires et philosophiques, je me détends à nouveau avec notre belle Louise (Et Alors ?)

Photos de Stephanie Rebeccu.
Top : Vintage / Hat : American Apparel / Stockings : Cervin

N’ai-je pas raison ? Venez……: www.misspandora.fr

Lou. F

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Chers Amis,

Emmanuelle Pruvost, du Cercle Esthétique wildien, vient de nous faire parvenir un lien qui devrait très certainement vous plaire !

Régalez-vous !….C’est par ici : modesXIXe.html

Merci à elle,

Lou Ferreira

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