
Oscar Wilde en 1882 . Photo de Napoléon Sarony.
Chers Amis,
Malgré les conditions sanitaires ubuesques et le désespoir qui nous gagne parfois, les soirées littéraires et philosophiques que j’anime avec le comédien Florent Gilles, vont cheminant avec un plaisir partagé par nombre d’entre vous !
Le travail acharné de Nathalie Gabriel -fidèle compagne de route- m’a permis de rencontrer le directeur du château du Plessis-Macé : Emmanuel Dupont. Il m’accueillera cette année 2022 régulièrement, et je lui en suis profondément reconnaissante.
C’est sur ce site médiéval qu’a lieu le festival d’Anjou depuis 1950. Etrange paradoxe de l’existence… Les belles rencontres se font sans logique apparente en période de pandémie, mais au moins, ce qui nous unit tous restera l’amour des Arts et des Lettres. (non non, je n’exagère en rien).
Je n’allais donc pas commencer dans un lieu aussi prestigieux, sans vous présenter divers aspects de la pensée d’Oscar WILDE -qui a été et restera une boussole artistique et morale dans mon existence-. Ses provocations éthiques, son verbe raffiné et ses écrits esthétiques me donnent envie de conserver le goût de vivre.
Je ne cèderai jamais aux tentations mortifères !
Lou FERREIRA

Lou FERREIRA. Photo de Thomas le Bras. Octobre 2021.
Votre commentaire